Placée sous le thème « L’Enfance de l’art », la 24^e édition du festival de bande dessinée donne carte blanche à Loïc Jouannigot, magicien de l’illustration et maître de l’aquarelle, offrant le château d’eau-château d’art pour nouveau terrain d’aventure à la Famille Passiflore.
Ce best-seller de la littérature enfantine est né en 1987 de la collaboration entre Geneviève Huriet pour les textes et Loïc Jouannigot, et fait le tour du monde depuis.
D’abord grâce aux vingt-quatre titres d’histoires illustrées parus aux Éditions Milan et traduits en vingt-huit langues, puis aux quatre albums BD réalisés par le dessinateur breton (Éditions Dargaud) - dont deux écrits par le regretté Michel Plessix - et à son récent « À bâbord, les Passiflore » (scénario de Béatrice Marthouret) édité par Daniel Maghen.
Au fil du temps, les cinq adorables lapereaux (Romarin, Agaric, Pirouette, Dentdelion et Mistouflet) accompagnés par Onésime, leur papa, et leur tante Zinia, ont entraîné et continuent d’entraîner dans leur sillage champêtre les jeunes lecteurs et leurs parents. Tous éblouis par la tendresse et la délicatesse qui se dégagent de leurs aventures, leur univers enchanteur, rassurant.
Et par le talent de Loïc Jouannigot, auteur d’aquarelles aux couleurs éclatantes, baignées de lumière et pleines de détails charmants et amusants.
De la poésie en bandes dessinées.